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Des collections variées sur divers thèmes anciens et documentations.


Histoire des anciennes voitures de collection et véhicules d'autrefois.

Des voitures de collection anciennes, classés par années de 1800 a 1959, les marques des constructeurs et les grands noms de l'automobile avec leur histoire, en images les automobiles de collection par marques et les non polluantes, recherche diverse sur les anciennes voitures de collection.
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Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.



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Velam Ecrin, voiture routière de 1954


La Velam Ecrin, ce véhicule de collection fut fabriqué de 1954 à 1958, cette Velam Ecrin fut produite en 1 motorisation d'une cylindrée de 0.2 L présentant une puissance de 12 ch.


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En 1957, Velam lance une Isetta carénée sur l'autodrome de Linas-Montlhéry et s'adjuge ainsi sept records mondiaux pour la catégorie inférieure à 250 cm31. Elle est construite sous licence de l'Isetta ISO, mais de nombreux détails sont modifiés. Le cadre est changé, la suspension devient plus élastique, le levier de vitesses est amélioré, ainsi que la direction. Les formes de la queue, des feux, du pare-chocs et des ailes avant sont également revues. Le design intérieur est un des éléments les plus retouchés sur la version française, améliorant la qualité. Par ailleurs, 500 versions de luxe appelées Écrin sont construites la même année.

Malgré ces atouts, elle paraît en France en 1955 à un prix de 300 000 franc, ce qui est moins élevé que celui de la 2CV, 400 000 francs, cette dernière nécessitant un délai de livraison supérieur. Alors que la version BMW continue à être produite pour l'Allemagne, la production Velam cesse en 1958, pour des raisons financières16. Malgré un concept extrêmement bien pensé, le prix trop élevé et un moteur trop bruyant achevèrent définitivement le modèle français. Le souvenir reste néanmoins dans la mémoire collective de ce « pot de yaourt » ou, plus ironiquement encore, de ce « suppositoire (pour autobus) ».VELAM, VEhicule Léger A Moteur est le nom de l'entreprise française qui fabriqua à Suresnes, dans l'ancienne usine Talbot louée pour l'occasion, l'Isetta sous licence ISO de 1955 à 1958.

VELAM acquis une licence de l'ISO Isetta en 1953 lors du Salon de l'auto de Turin pour la fabrication en France et la commercialisation de ces véhicules en France, Belgique et Espagne. La marque italienne ISO avait arrêté la production du modèle en Italie, faute de ventes suffisantes. VELAM fera réaliser l'outillage nécessaire à cette fabrication et en profita pour procédér à quelques modifications très mineures. Ce n'est que 18 mois plus tard que la production démarra enfin.

Le constructeur français présenta la nouvelle voiture à la presse en grande pompe à Paris en mars 1955. La production débuta en octobre 1955 à la cadence de 20 à 22 véhicules par jour avec 350 salariés. Prix de la voiture : 297.000 francs avec un mois de délai. Pour vendre ses voitures, VELAM dut créer un réseau de 150 concessionnaires.

Quelques détails différaient du modèle italien d'origine car l'outillage d'ISO Rivolta avait été vendu en 1955, avec une licence de fabrication, à l'allemand BMW, alors au bord de la faillite. En 1957 une version décapotable est proposée mais le succès n'est pas au rendez-vous. De 4 886 véhicules vendus en 1956, on passe à 1 005 ventes en 1957.

Velam essaie de relancer le modèle en présentant une version plus luxueuse, l'Ecrin, et en battant plusieurs records internationaux sur l'autodrome de Linas-Montlhéry pour la catégorie inférieure à 250 cm³. La nouvelle version fut présentée au Salon de Paris en mars 1957. Elle dispose d'un hard top, de vitres latérales coulissantes, d'une carrosserie à deux couleurs, de garde-boue enveloppants, d'une trappe d'accès au moteur plus importante, d'une boîte à gants, d'une radio intégrée côté passager, et de ressorts à lames à l'avant. Elle était surtout mieux isolée du bruit du moteur avec 16 kg de matériaux isolants au lieu des 9 de la première version. Elle était vendue 380.000 francs en janvier 1958.Mais malgré un concept extrêmement bien pensé, le prix élevé et un moteur encore bruyant eurent raison du modèle. La production cessa en 1958.

Le constructeur VELAM ne lui survivra pas longtemps. L'Isetta aura été sa seule et unique production et tout s'arrêtera en 1958. Les chiffres diffèrent selon les sources. D'après l'Isetta Club EV, la production globale a atteint 5.512 exemplaires : 5.010 Isetta de base, 500 Ecrin et 2 exemplaires "course". Maselko estime une production VELAM comprise entre 4.000 et 7.000 véhicules. Schmidt & Seeliger affirment qu'elle aurait été de 1.224 Isetta en 1955, 4.886 en 1956, et 1.005 en 1957, soit un total de 7.115 véhicules.

Afin de situer le contexte de l'époque, précisons que les automobiles d'entrée de gamme en vente étaient : la Renault Dauphine, la Citroen 2CV qui était vendue environ 370.000 francs, et les Fiat 500 et Fiat 600.

Comme l'original italien, la disparition prématurée du modèle français due à des ventes insuffisantes s'explique par les raisons suivantes : l'utilisation d'un moteur de moto inadapté qui demande un entretien fréquent et ne fonctionne qu'avec un mélange de combustible (essence plus huile), la concurrence de modèles automobiles plus robustes, plus confortables avec un accès aisé et moins chers, la clientèle désireuse de disposer d'une voiture plus grande et plus rapide à l'époque on n'imagine pas la seconde voiture de ville.

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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Velam ", France 1954 - 1958.

VELAM acquiert une licence de l'ISO Isetta en 1953 lors du Salon de l'auto de Turin pour la fabrication en France et la commercialisation de ces véhicules en France, Belgique et Espagne.

La marque italienne ISO avait arrêté la production du modèle en Italie, faute de ventes suffisantes.

VELAM fera réaliser l'outillage nécessaire à cette fabrication et en profita pour procédér à quelques modifications très mineures.

Ce n'est que 18 mois plus tard que la production démarra enfin.

Le constructeur français présenta la nouvelle voiture à la presse en grande pompe à Paris en mars 1955.

La production débuta en octobre 1955 à la cadence de 20 à 22 véhicules par jour avec 350 salariés.

Prix de la voiture : 297.000 francs avec un mois de délai.

Pour vendre ses voitures, VELAM dut créer un réseau de 150 concessionnaires.

En 1957 une version décapotable est proposée mais le succès n'est pas au rendez-vous.

De 4 886 véhicules vendus en 1956, on passe à 1 005 ventes en 1957.

Velam essaie de relancer le modèle en présentant une version plus luxueuse, l'Ecrin, et en battant plusieurs records internationaux sur l'autodrome de Linas-Montlhéry pour la catégorie inférieure à 250 cm³.

La nouvelle version fut présentée au Salon de Paris en mars 1957.

Elle dispose d'un hard top, de vitres latérales coulissantes, d'une carrosserie à deux couleurs, de garde-boue enveloppants, d'une trappe d'accès au moteur plus importante, d'une boîte à gants, d'une radio intégrée côté passager.

Elle était surtout mieux isolée du bruit du moteur avec 16 kg de matériaux isolants au lieu des 9 de la première version.

Elle était vendue 380.000 francs en janvier 1958.

Mais malgré un concept extrêmement bien pensé, le prix élevé et un moteur encore bruyant eurent raison du modèle.

La production cessa en 1958.

Le constructeur VELAM ne lui survivra pas longtemps et tout s'arrêtera en 1958.




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